Citation

"Il n'est pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va"
Sénèque

mercredi 8 avril 2009

Conclusion

Comme toutes les bonnes choses ont une fin, il est maintenant temps de conclure sur le contenu de notre blog. Durant notre exposé nous vous avons présenté ce qu’est la planification budgétaire, comment les entreprises la mettent en place, les raisons pour lesquelles cet outil est aujourd’hui toujours utilisé et la manière dont les entreprises les utilisent. Mais comme nous le mentionnons dans un second temps dans ce blog, les budgets font l’objet de plus en plus de critiques et sont aujourd’hui remis en cause dans certaines organisations. Nous avons ainsi pu le montrer à travers le cas de Rhodia qui n’utilise à l’heure actuelle plus de budgets.


Quel avenir pour les budgets ?

La contestation grandissante à l’égard des budgets va-t-elle remettre en cause leur implantation dans les entreprises ? Ceci n’est qu’un avis personnel suite aux constats et différentes analyse que nous avons effectuée. Comme nous le présentions précédemment, la quasi-totalité des entreprises utilisent la planification budgétaire comme outil de gouvernance, et ceux pour plusieurs raisons : le coté rassurant des budgets, avec la réalisation de prévisions et des moyens alloués pour les réaliser; la peur du changement et de l’incertitude, le « pourquoi changer si l’entreprise fonctionne bien comme cela ? », sans oublier leur large diffusion et sans doute le manque de connaissances des managers quant à l’utilisation des

nouvelles méthodes. C’est différends font, à notre sens, que la fin de l’utilisation des budgets n’est pas programmée pour tout de suite et qu’il leur reste de belle

s années devant eux.


14 commentaires:

  1. Il est évident que les budgets ont encore de belles années devant eux.

    Nous pensons tout de même qu'à défaut de les annuler il faudrait au moins les rendre plus flexibles. En effet, les écarts ponctuels génèrent à terme une perte de crédibilité. De plus, les personnes en charge des budgets passent la moitié de leur temps de travail à expliquer et justifier ces écarts, n'est ce pas une perte de temps?

    Plus que de modifier les budgets pour les remettre au goût du jour, il serait intéressant de s'attarder sur les autres outils de projections développés ces dernières années (cartes stratégiques, tableaux de bord équilibrés...) qui s'avèrent très interactifs et souples.

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  2. Tout a fait cela peut être considéré comme une perte de temps si l'on juge que le système des prévisions est contreproductif.
    Mais tout le système, toutes les croyances sur les budgets reposent sur ces prévisions. A partir du moment on l'on réalise un c'est que l'on croit dans cet outil, il nous pourrait donc normal que ces personnes passent du temps à justifier des écarts, car cela ne servirait à rien de faire des prévisions si dernière elles ne sont pas expliquées.

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  3. Je suis d'accord avec vous que les budgets ont encore de belles années devant eux. Selon moi cela est causé par le phénomène de la recherche qui prend énormément de temps à se réaliser en pratique. Par exemple, les chercheurs qui ont travaillé sur le budget dans le passé, les praticiens ont probablement mis des années voir même des dizaines d'années avant de se l'approprier. À ce jour, les autres méthodes de prévisions sont encore trop embryonnaires, le budget est donc le mieux connu et le plus documenté, c'est pour cette raison que celui-ci a encore un avenir prometeur.

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  4. Bloc 1 Kamal Racine

    Bonjour à vous, j’ai bien aimé votre blog traitant de la planification budgétaire et principalement du caractère statique que vous avez dénoncés.

    En effet, la pertinence des budgets peut être remise en question car comme vous l’avez soulignés, elle ne tient pas compte des possibles écarts futurs et des distorsions imprévisibles.

    Petite parenthèse, le point sur la planification dans un contexte de turbulence est selon moi injuste. On ne peut tenir responsable un budget de n’avoir prévu l’imprévisible. Aucun indicateur de performance ou de prévision n’aurait pu prévoir à l’interne la crise financière actuelle alors je crois qu’il serait exagéré que le budget soit tributaire d’un avènement si inattendue.

    Ceci étant dit, il n’en demeure pas moins que les budgets doivent évolués avec les besoins de l’entreprise. Votre blogue contient l’article d’Ekholm Bo et Wallin J “ Is the annual budget really dead?” qui font une comparaion entre trois solutions : le budget, les prévisions et le tableaux de bord. Leur conclusion résulte en la volonté des cadres(60-70%) de changer le caractère actuel des budget vers une amélioration continue mais son emploi est encore préconisé par pratiquement toutes les entreprises.

    Finalement, je crois qu’un budget est un outil de choix afin de se comparer dans le temps et de faire le rapprochement entre le réel et les prévisions.

    On peut ainsi valider la justesse de nos prévisions et analyser les écarts positifs ou négatifs. Il faut simplement pallier ses faiblesses à l’aide d’outils complémentaire tel les tableaux de bord et les prévisionnels.

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  5. Equipe 8 Dossou Koukoui

    Le sujet traité semble intéressant et nous montre bien la nécessité des budgets dans le cadre des entreprises. Notre intervention ne vise nullement à remettre en cause leur importance mais à porter de nouveaux outils qui ont été mises en oeuvre face aux insuffisances des budgets. bien que vous ayez traité de la gestion sans budget dans le cas Rhodia, il sied quand même de préciser qu'elle ne peut se faire sans le balance scorecard avec la prise en compte d'indicateurs non financiers et une utilisation plus fréquente du benchmarking.

    D'autres outils comme l'Activity based budgeting (ABB)semblent aussi d'un grand intéret. Cette méthode vise à redéfinir le processus de planification-budgétisation autour d’une logique stratégique fondée sur les processus (les processus traduisent mieux les axes stratégiques développés par l’entreprise). L’allocation des ressources ne se fait plus seulement en fonction d’indicateurs volumiques (le nombre de produits vendus ou produits) mais en fonction des caractéristiques des produits ou services qui ont des répercussions sur des activités organisées en processus.

    Ceci dit, nous retenons qu' aucun outil de gestion n’est pas bon ou mauvais en soi. Tout dépend de l’usage que l’on en fait.

    Quelle peut donc être la capacité d’un outil de gestion, en supposant un usage pertinent, à améliorer la performance et est-ce toujours le but poursuivi?

    Nous avons eu à traiter dans notre blog de la gestion de la qualité dans tout types d'entreprises! un sujet certes intéressant par ces temps de forte globalisation des économies et de l'accentuation de la compétitivité pour les entreprises!! La planification budgétaire ne doit-elle pas intégrer les objectifs stratégiques à mettre en œuvre pour atteindre un niveau de performance très élevé tout en réduisant les coûts liés à la non qualité? L'une des caractéristiques de la planification budgétaire est qu'elle est plus adaptée aux entreprises qui utilisent une stratégie de la domination par les coûts pour des produits à cycle de vie long. Or la gestion de la qualité doit être une préoccupation de toute entreprise quel que soit sa taille et son secteur d'activité.

    En somme, les deux thèmes doivent être intégrés à la stratégie mises en œuvre par l'entreprise et la planification budgétaire doit tenir compte des actions à mettre en œuvre pour atteindre le Zéro défaut ou la qualité totale.

    Dossou

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  6. Ilyasso SANNI YAYA – Equipe 8

    Maîtriser le pilotage d'une entreprise, c'est, d'abord, réussir en permanence à " décliner " sa stratégie à tous les niveaux de l'organisation rapporte Bouquin Henri dans son livre « le contrôle de gestion : contrôle de gestion, contrôle d’entreprise et gouvernance ». La planification budgétaire pourrait constituer l'instrument privilégié de cette déclinaison si elle s’aligne à la stratégie globale de l’organisation en s’appuyant sur l’élaboration d’un budget traduisant les besoins nécessaires à la réalisation de l’activité prévisionnelle. La planification budgétaire suppose la traduction des objectifs de l’organisation en termes de budget. La qualité des produits est un objectif majeur de toute organisation qu’elle soit à court ou à long terme. Il est donc évident que l’organisation doit prendre en considération cette démarche qualité dans sa planification budgétaire. En effet la mise en œuvre d’une démarche qualité exige des moyens financiers et des plans d’actions. La planification budgétaire permettrait ainsi à l’organisation d’évaluer les coûts prévisionnels d’une démarche qualité et de trouver les méthodes adéquates pour réussir une telle démarche. Par exemple, une entreprise qui désire améliorer la qualité de ses produits doit pouvoir déterminer les coûts supplémentaires qu’elle supporterait et de ce fait tenir de ses coûts supplémentaires dans sa planification budgétaire. En conclusion, la planification budgétaire constitue un instrument essentiel susceptible de fournir tous les éléments de nature à éclairer le gestionnaire pour une gouvernance saine.

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  7. Selon le point de vue de la CAM-I 99% des entreprises utilisent encore les budgets. Même si des auteurs tel que Jensen pense qu’il faudrait aujourd’hui avoir une approche sans budget (Ex : le cas Rhodia). En effet, Jensen nous dit que les budgets poussent les personnes à mentir. Une affirmation confirmée en cours lors de l’intervention sur la comptabilité de management et OBNL.

    Si l'on se replace en contexte d'affaire dans les OBNL par exemple: On s'aperçoit que lorsque celles-ci définissent leurs budgets en fonction des dépenses de l’année passée et par conséquent elles sont sujettes à laisser une marge de sécurité dans l’optique de ne pas se trouver sans ressources si une éventuelle charge devait intervenir sans qu’elle ai été budgéter. De plus, en fin d’année il est souvent temps de faire l’achat de nombreuses fournitures et de matériels dans le but de consommer le reliquat du budget. Ces arguments prouvent que le budget pousse à mentir, non pas par volonté mais par nécessité. Dans cette optique un prolongement de la planification budgétaire traditionnel grâce au tableau de bord prospectif pourrait améliorer les budgets en incluant notamment des indicateurs non financiers.

    Benoît SCHAMBOURG BLOG 3 équipe 9

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  8. Bonjour,

    Dans ce blog vous soulevez la problématique selon laquelle les budgets sont confrontés à deux limites qui s'opposent, soit les objectifs sont trop ambitieux, impossibles à atteindre, soit la barre n'est pas assez haute et cela pousse à la contre-performance puisque les personnes concernées ne désirent pas faire mieux que ce qui leur est demandé au risque qu'on leur en demande plus.

    Cette double problématique est très présente dans le secteur public et le secteur des OBNL où le budget est d'une importance considérable dans le fait qu'il est souvent un argument incontournable de négociation et d'obtention des ressources.

    De ce fait peut-on proposer les mêmes recommandations pour l'amélioration ou la suppression du budget pour ce secteur très spécifique? Sinon, quels pourraient être les ajustement nécessaires à effectuer dans ce secteur pour atténuer les contraintes que provoquent les budgets?

    Ronan AUDO.

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  9. Technologie de l’information et Budget : Bloc4 : Marc-André Gauvin

    Comme il est exprimé dans le blogue, les budgets sont victime de plusieurs critiques et plusieurs entrevoient la mort des budgets. Premièrement le budget se retrouve dans la situation actuel puisqu’il n’y a eut que peut d’adaptation du budget durant les dernières années pendant que l’environnement évoluait à un rythme important. Ainsi le budget se veut une forme trop rigide pour les besoin d’information actuel.

    Bien que le budget ne soit plus adapté aux besoins d’information actuelle, je crois que les technologies de l’information et la grande importance des infrastructures informatiques vont permettre de donner un nouveau souffle au budget en informatisant ses composantes lui permettant d’être manipuler et adapté à la situation économique du moment pour donner des information directe et importante pour la prises des décisions au sein des entreprises. Les possibilités qu’offre internet vont permettre au budget d’être intégré avec certains site d’information et permettra d’incorporer les informations sur le secteur d’activité pour ainsi voir les impacts directe sur les divisions de l’entreprises. De plus cette nouvelle approche permettra une meilleur évaluation du respect des budgets puisqu’il intégrera des aspects du secteur d’activité et de l’économie en général et permettra une meilleur gestion de la production.

    Bien sur tout ca est théorique et une opinion personnel de la suite des événements, mais il reste néanmoins que le budget lorsqu’il est bien utiliser permet de bien gérer les coûts et donne une ligne directrices pour savoir vers où nous allons. Je suis d’accord cependant que dans l’état actuel le budget (statique) ne peut être viable à long terme puisque l’environnement change et change de plus en plus rapidement. Ainsi je crois que l’informatique permettre un jour d’avoir des budgets version 2.0…

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  10. BLOC 4
    MARIE-LAURENCE PARADIS

    Les processus budgétaires et le développement durable!

    Une des préoccupation de blog sur le processus budgétaire est que l’environnement évolue et fluctue beaucoup alors que les budgets représentent un outil de prévision mais qui a été créé dans un environnement plus stable et dont les prévisions allaient être sensiblement semblables aux résultats précédents.

    Comme nous le savons tous, les ressources naturelles ne sont pas inépuisables et sont surtout nécessaires aux générations de demain! Dans une optique de développement durable, des budgets de ressources naturelles pourraient être intéressants. Depuis plusieurs années on s’intéressent a la dégradation des ressources sur notre planète. Ainsi, on pourrait évaluer, avec notre rythme de consommation et l’utilisation que tous font des ressources naturelles, de combien a diminué les différentes ressources ou de quel pourcentage elles se sont détériorées. Les critères d’évaluation pris en compte pourraient être le temps, notre niveau de consommation, le nombre d’entreprise qui utilisent ou détériore quelle ressources. Comme la situation ne fait que s’empirer depuis plusieurs années, les détériorations passées seraient une bonne base pour déterminer les prévisions et ensuite fixer des objectifs a atteindre en vue de la diminution de la pollution et de la l »amélioration de la santé de notre planète. On pourrait dire que le protocole de Kyoto, afin de déterminer les différents objectifs de réduction d’émission de GES a procédé a un tel processus budgétaire. Le budget proposé jusqu’ici, est davantage en quantité de ressources qu’en argent et aussi, il s’avère un peu compliqué et peut-être a trop grande échelle…

    Cependant, chaque entreprise pourrait établir un budget de ressources et d’effet sur les ressources. Chaque entreprise pourrait évaluer la quantité de ressources qu’elles utilisent pour chaque activité et enfin pour chaque unité produite. Elles pourraient revoir leurs activités, trouver qu’elles consomment et nuisent le plus a l’environnement et usent trop de ressources naturelles et ainsi établir de nouvelles méthodes qui favoriseraient l’environnement. Les activités pourraient être testés et a partir du nouveau processus et re-budgéter les ressources qui seront nécessaires a leur production.

    De cette manière, les budgets de ressources sont toujours adaptés avec les nouveaux procédés, les externalités sont réduites, cela favorise le développement durable, et les entreprises se retrouvent a internaliser les coûts sociaux qui auraient pu être probables car ils cherchent a améliorer leurs budgets de consommation de ressources naturelles donc engendrent des coûts de recherche et de développement pour réduire les impacts sur la société.

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  11. Bloc 5. Clémence

    Bonjour,
    Il est très intéressant de consacrer du temps à construire le débat sur l'utilisation du budget. Ce fameux budget qui fait tant jaser au sein des organisations ! Il semble qu'il ne soit en effet pas adapté aux PME pour lesquelles il s'agit d'un outil très lourd proportionnellement au montant dont dispose ces entreprises. Ainsi, il me paraîtrait logique que le budget disparaisse au sein des PME, dès que les banquiers arrêteront d'en demander (sachant qu'en pratique il est souvent laissé dans un tiroir) !
    Cependant, lorsque nous pensons aux très grandes organisations, je ne pense pas que la fin du budget soit proche ! Malgré les reproches qui lui sont fait, tels le manque de souplesse qu'il induit, il me semble incontournable de posséder une base de planification. En effet, une grande entreprise, disposant de plusieurs services (marketing, production, R&D) a vraisemblablement besoin de pouvoir au moins définir un maximum de dépenses à allouer à chacune des activités (combien peut-on se permettre de dépenser en R&D? etc.). Ainsi, je crois que dans les prochaines années, l'utilisation du budget dans les grandes entreprises sera uniquement modifiée afin de permettre la souplesse nécessité par l'environnement concurrentiel actuel. Je pense notamment que les entreprises devraient maintenir une plus grande capacité libre de financement d'activités non planifiées (discrétionnaire) de façon à répondre à une demande, opportunité impromptue.
    Par ailleurs un autre grand utilisateur du budget est le secteur public. Or, il est difficile d'imaginer celui-ci (le gouvernement, chaque ministère, collectivités) ne plus réaliser de budget ! Peut être que les plus petites (telles l'équivalent des PME) pourraient s'en passer, mais il faut bien continuer d'allouer l'argent à chaque partie !
    Sans l'utilisation de budget, le risque me paraît être une consommation excessive des ressources (au fil des "besoins", demandes) en début d'exercice, au risque de se retrouver sans aucune capacité de financement au milieu de l'année ! Une certaine forme de planification me paraît indispensable dans un système complexe tel que l'Etat ou une grande entreprise. Dès lors, le budget aurait juste un petit remodelage à réaliser et je vous rejoins sur le fait que, ainsi le budget a encore de beaux jours devant lui !

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  12. Bloc 1 : Sébastien Gagné = 3 interventions
    ( Voir à trois endroits différents )

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  13. Bloc 5 + Peccot


    La planification budgétaire est un outil de gestion et de gouvernance répandu dans les entreprises. cependant quelques limites leur sont attribués, notamment depuis quelques années avec l'apparition des nouvelles technologies, du développement durable, des techniques de gestion des ressources humaines et donc des nouveaux modes de gestion. L'environnement est devenu plus instable avec des modifications et des évolutions de plus en plus rapide accélérées par la capacité des systèmes d'informations toujours plus puissants et sophistiqués à collecter et gérer les données et la connaissance.

    Le contexte éconoimique et financier actuel sera peut être favorable à la révision des systèmes de prévisions et d'évaluation de la performance en modifiant les critères à la base de l'estimation des budgets.

    Toutefois, il est légitime de se demander si le fait de ne plus utiliser de budget ajoute des difficultés pour réaliser des audits des comptes : est-il plus difficile de cerner la stratégie de la firme, des rapports de force ou les conflits d’intérêts pouvant apparaître entre les différents acteurs de gouvernance de l’entreprise, de suivre les types de transactions et l’évolution du chiffre d'affaires programmé, etc..
    Ainsi, la crainte pour les prochaines années est, en partie, de savoir si c'est nouvelles méthodes de prévision apportent davantage de transparence sur les comptes et les stratégies envisagées par l’entreprise ? et si elles sont moins abordables/accessibles à la compréhension des comptes pour un individu lambda (tout investisseur et partie prenante potentielle) via le nouvel outil qui est, actuellement, maîtrisé et "mis à l'essai" par une petite minorité ?
    Le partage et la transmission de la connaissance / l'expertise, ainsi que la formation des salariés et des analystes confrontés à ces outils, sont indispensables pour pouvoir encadrer et délimiter les risques inhérents à l'implantation de ce système de gestion.
    Cependant, les budgets resteront peut-être mieux adaptés à certains profils d'entreprise qui ont des moyens ou des ressources limitées.

    Dans tous les cas, toute gestion du changement devra être expliquée et motivée pour démontrer les avantages futurs retirés et l'acceptation de l'outil au détriment de l'ancien.

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